CSI : Les Experts
Pour la troisième semaine, TF1 diffuse ce soir deux épisodes des Experts de Manhattan (titre original : CSI : NY).
Avant de parler de la série, je vais un peu me défouler sur cette chaîne de m... que je ne regarde que pour Les Experts donc, et New York District. Ca relève un peu du masochisme, il faut le dire. Attendre que les émissions à la c... qui ne finissent jamais à l'heure tirent le rideau. Quand ces séries passent en prime time ou le dimanche après midi, découvrir qu'à la place il y a un grand prix automobile ou un match de foot. Les voir dans un ordre de diffusion fantaisiste qui ne respecte pas la chronologie initiale. Et surtout : ne pas pouvoir les regarder en VO.
Mais que peut-on attendre de plus de cette chaîne produite par des QI d'huitres pour des QI de palourdes...
Cette série a été créée par Anthony E. Zuiker en 2000. L'idée de base : une unité scientifique de la police utilise la technologie de pointe pour trouver des indices et élucider les meurtres.
La première série se passe à Las Vegas. S'en est suivi des autres séries CSI : Miami en 2002 et CSI : NY en 2004.
Le secret de ces trois séries réside d'abord dans la personnalité des chefs d'unité. Ils sont tous trois des meneurs d'hommes entêtés, des scientifiques futés et on retrouve chez eux une des caractéristiques des héros au sens mythique : ils se donnent corps et âme à leur mission en en oubliant jusqu'à leur vie privée. J'avoue avoir un faible pour Horacio Caine (CSI : Miami), interprété par David Caruso. Contrairement aux deux autres : Gil Grissom (CSI) interprété par William L. Petersen et Mack Taylor (CSI : NY) interprété par Gary Sinise, il est moins perdu dans la froideur des laboratoires. Il a peut être moins d'humour mais ses analyses psychologiques des victimes comme celles des truands le rendent plus humain que les deux autres.
Il y a aussi les équipes. Hommes et femmes aux caractères trempés, non sans défaut, aussi tenaces dans le travail que leur chef et comme l'indique la traduction française du titre : tous experts scientifiques.
Et puis il y a l'ambiance. Dans la première série, les images sont pour la plupart des prises de vues nocturnes contrastant avec la violence des néons de Las Vegas. Dans CSI : Miami, les images sont orangées, légèrement floutées par moment, pour rendre l'ambiance caniculaire de la ville. Dans CSI : NY, c'est plutôt un bleu vert qui domine, le côté mégapole froide où le béton est roi.
CSI : NY est un peu plus trash que les deux autres. On y voit les cadavres plus en détails et parfois dans des postures surprenantes. La semaine dernière, l'équipe enquétait sur la mort d'un docker écrasé entre deux containers. Le cadavre ressemblait à un personnage de dessin animé ayant reçu une enclume sur la tête, sauf qu'il n'allait pas pouvoir reprendre sa forme initiale...
A signaler : un double épisode des Experts de Las Vegas a été réalisé par Quentin Tarantino à la fin de la cinquième saison...
Avant de parler de la série, je vais un peu me défouler sur cette chaîne de m... que je ne regarde que pour Les Experts donc, et New York District. Ca relève un peu du masochisme, il faut le dire. Attendre que les émissions à la c... qui ne finissent jamais à l'heure tirent le rideau. Quand ces séries passent en prime time ou le dimanche après midi, découvrir qu'à la place il y a un grand prix automobile ou un match de foot. Les voir dans un ordre de diffusion fantaisiste qui ne respecte pas la chronologie initiale. Et surtout : ne pas pouvoir les regarder en VO.
Mais que peut-on attendre de plus de cette chaîne produite par des QI d'huitres pour des QI de palourdes...
CSI : Crime Scene Investigation
Cette série a été créée par Anthony E. Zuiker en 2000. L'idée de base : une unité scientifique de la police utilise la technologie de pointe pour trouver des indices et élucider les meurtres.
La première série se passe à Las Vegas. S'en est suivi des autres séries CSI : Miami en 2002 et CSI : NY en 2004.
Le secret de ces trois séries réside d'abord dans la personnalité des chefs d'unité. Ils sont tous trois des meneurs d'hommes entêtés, des scientifiques futés et on retrouve chez eux une des caractéristiques des héros au sens mythique : ils se donnent corps et âme à leur mission en en oubliant jusqu'à leur vie privée. J'avoue avoir un faible pour Horacio Caine (CSI : Miami), interprété par David Caruso. Contrairement aux deux autres : Gil Grissom (CSI) interprété par William L. Petersen et Mack Taylor (CSI : NY) interprété par Gary Sinise, il est moins perdu dans la froideur des laboratoires. Il a peut être moins d'humour mais ses analyses psychologiques des victimes comme celles des truands le rendent plus humain que les deux autres.
Il y a aussi les équipes. Hommes et femmes aux caractères trempés, non sans défaut, aussi tenaces dans le travail que leur chef et comme l'indique la traduction française du titre : tous experts scientifiques.
Et puis il y a l'ambiance. Dans la première série, les images sont pour la plupart des prises de vues nocturnes contrastant avec la violence des néons de Las Vegas. Dans CSI : Miami, les images sont orangées, légèrement floutées par moment, pour rendre l'ambiance caniculaire de la ville. Dans CSI : NY, c'est plutôt un bleu vert qui domine, le côté mégapole froide où le béton est roi.
CSI : NY est un peu plus trash que les deux autres. On y voit les cadavres plus en détails et parfois dans des postures surprenantes. La semaine dernière, l'équipe enquétait sur la mort d'un docker écrasé entre deux containers. Le cadavre ressemblait à un personnage de dessin animé ayant reçu une enclume sur la tête, sauf qu'il n'allait pas pouvoir reprendre sa forme initiale...
A signaler : un double épisode des Experts de Las Vegas a été réalisé par Quentin Tarantino à la fin de la cinquième saison...