Cuisine Du Tour Du Monde
Sur une demande de Claudine.
Au risque de faire dans les clichés, partout où je suis passé cet été, je me suis régalée sauf... dans les pays anglo-saxons !
Je ne crache pas sur les hotdogs, pizzas et hamburgers mais à la longue, ça barbe un peu. Cela dit, j'ai mangé à Chicago les meilleures pizzas de ma vie. Tellement bonnes que j'ai récidivé tous les soirs ! - Heureusement que je n'y suis pas restée dix jours ! -
Le parcours des délices a commencé en Equateur. Là bas, je n'ai pas goûté le cuyi (nom quitchua du cochon d'inde) mais je me suis régalée avec les "ceviches", poissons ou fruits de mer marinés accompagnés de bananes planteur frites et de maïs éclaté, et les empanadas, sortes de petits chaussons farcis. - Ce sont des plats que l'on trouve un peu partout en Amérique Latine, mais dans chaque pays, ils ont des goûts et des textures très différents. -
Aux Galapagos, je me suis léchée les doigts avec de belles grosses crevettes "à l'aji", charnues, croquantes et piquantes à souhait. Et je ne loupais pas l'heure du goûter où je m'offrais de délicieux jus de mûres, tellement épais que la paille tenait toute droite dans verre.
Sur l'île de Pâques, j'ai entamé un long régime poisson. Cru, cuit, mariné, j'en ai mangé bien plus en cinq jours que je ne peux le faire en un mois à Paris. J'ai aussi goûté les empanadas locales, deux fois plus grosses que partout ailleurs. Il faut dire que les Pascuans, questions nourriture, ne s'en laissent pas conter. Ce sont de beaux bébés bien nourris, comme leurs cousins de Polynésie Française d'ailleurs.
Malheureusement, je n'ai pas eu l'idée de prendre tous ces plats en photo jusqu'au jour où, à Fakarava, les pieds pratiquement dans l'eau, j'ai goûté du poisson à la tahitienne...

Aussi beau que bon ! Et je dois dire que partout en Polynésie, j'ai mangé des choses délicieuses. J'ai fait là aussi une cure de poisson. J'ai adoré la chair du perroquet qui fond doucement sous la langue, la fraîcheur du thon qui vient juste d'être pêché, la texture délicate de ces belles crevettes appelées chevrettes...
J'ai, par choix, peu mangé de viande mais quand il y avait du ragout de chèvre au lait de coco, je ne pouvais pas y résister ! Et question dessert, j'ai découvert - dès l'île de Paques d'ailleurs - le "poe", sorte d'entremet au manioc arrosé de lait de coco, fait la plupart du temps avec des bananes. Mais la version au potiron vaut vraiment le détour ! Je sens que ça va être mon "best" dessert cet hiver !
Bora-Bora - Buffet polynésien : fruits (à peine visibles sur la photo), poe, poulet mariné grillé, poisson grillé, poisson à la tahitienne, tarot (racine au goût entre patate douce et artichaud), gateau de coco.
Et puis il y a eu le Japon ! Et là pour moi, ça a été l'aventure au quotidien. Ne sachant pas lire les étiquettes, j'ai souvent acheté des plateaux repas ou des plats au pif. Je n'ai pas toujours pu identifier ce que j'ai mangé, mais je n'ai jamais été déçue par les goûts et les textures.
Mon premier repas à Tokyo : riz, poisson, légumes et soupe miso
Le jour du Festival de Danse, j'ai goûté de drôles de boulettes au poulpe achetées sur un stand. Pas faciles à manger mais drôlement savoureuses.

J'ai mangé bien sur quantité de sushis ou de ramen. Mais quand j'ai rencontré Mimisan, j'ai pu sortir des sentiers battus et grâce à elle manger des plats que je n'aurais pas pu découvrir seule si ce n'est complètement par hasard.
Repas de midi : soupe miso, riz, poisson cuit et omelette, seiche et choux rapé, "tartare" de thon et ses crevettes, fruit.
Plat coréen à la mode au Japon, à base de riz, viande, légumes, oeuf, servi dans un plat extrèmement chaud qui fait croustiller les aliments près du bord. On mélange le tout avant de déguster.
Pour finir, des petites patisseries, pas des plus raffinées comme le sont généralement les typiques patisseries japonaises, mais trop mimis pour ne pas être dévorées !

Brioches et "gauffres" fourrées (crème chocolat ou vanille, sésame, haricots rouges,...)
Au risque de faire dans les clichés, partout où je suis passé cet été, je me suis régalée sauf... dans les pays anglo-saxons !
Je ne crache pas sur les hotdogs, pizzas et hamburgers mais à la longue, ça barbe un peu. Cela dit, j'ai mangé à Chicago les meilleures pizzas de ma vie. Tellement bonnes que j'ai récidivé tous les soirs ! - Heureusement que je n'y suis pas restée dix jours ! -
Le parcours des délices a commencé en Equateur. Là bas, je n'ai pas goûté le cuyi (nom quitchua du cochon d'inde) mais je me suis régalée avec les "ceviches", poissons ou fruits de mer marinés accompagnés de bananes planteur frites et de maïs éclaté, et les empanadas, sortes de petits chaussons farcis. - Ce sont des plats que l'on trouve un peu partout en Amérique Latine, mais dans chaque pays, ils ont des goûts et des textures très différents. -
Aux Galapagos, je me suis léchée les doigts avec de belles grosses crevettes "à l'aji", charnues, croquantes et piquantes à souhait. Et je ne loupais pas l'heure du goûter où je m'offrais de délicieux jus de mûres, tellement épais que la paille tenait toute droite dans verre.
Sur l'île de Pâques, j'ai entamé un long régime poisson. Cru, cuit, mariné, j'en ai mangé bien plus en cinq jours que je ne peux le faire en un mois à Paris. J'ai aussi goûté les empanadas locales, deux fois plus grosses que partout ailleurs. Il faut dire que les Pascuans, questions nourriture, ne s'en laissent pas conter. Ce sont de beaux bébés bien nourris, comme leurs cousins de Polynésie Française d'ailleurs.
Malheureusement, je n'ai pas eu l'idée de prendre tous ces plats en photo jusqu'au jour où, à Fakarava, les pieds pratiquement dans l'eau, j'ai goûté du poisson à la tahitienne...

Aussi beau que bon ! Et je dois dire que partout en Polynésie, j'ai mangé des choses délicieuses. J'ai fait là aussi une cure de poisson. J'ai adoré la chair du perroquet qui fond doucement sous la langue, la fraîcheur du thon qui vient juste d'être pêché, la texture délicate de ces belles crevettes appelées chevrettes...
J'ai, par choix, peu mangé de viande mais quand il y avait du ragout de chèvre au lait de coco, je ne pouvais pas y résister ! Et question dessert, j'ai découvert - dès l'île de Paques d'ailleurs - le "poe", sorte d'entremet au manioc arrosé de lait de coco, fait la plupart du temps avec des bananes. Mais la version au potiron vaut vraiment le détour ! Je sens que ça va être mon "best" dessert cet hiver !

Et puis il y a eu le Japon ! Et là pour moi, ça a été l'aventure au quotidien. Ne sachant pas lire les étiquettes, j'ai souvent acheté des plateaux repas ou des plats au pif. Je n'ai pas toujours pu identifier ce que j'ai mangé, mais je n'ai jamais été déçue par les goûts et les textures.

Le jour du Festival de Danse, j'ai goûté de drôles de boulettes au poulpe achetées sur un stand. Pas faciles à manger mais drôlement savoureuses.

J'ai mangé bien sur quantité de sushis ou de ramen. Mais quand j'ai rencontré Mimisan, j'ai pu sortir des sentiers battus et grâce à elle manger des plats que je n'aurais pas pu découvrir seule si ce n'est complètement par hasard.


Pour finir, des petites patisseries, pas des plus raffinées comme le sont généralement les typiques patisseries japonaises, mais trop mimis pour ne pas être dévorées !

